Connaissez-vous le Dispensaire diététique de Montréal ?
Moi, non. Jusqu’à tout récemment. En fait, j’ai reçu une invitation pour assister à leur lunch-bénéfice pour la fête des Mères. C’était la troisième édition, et 160 gens d’affaires se sont réunies au Sofitel à Montréal. Cette année, près de 70 000 $ ont été amassés, un record pour l’organisme. Cet argent servira aux activités de soutien nutritionnel et social que le Dispensaire apporte à plus d’un millier de femmes enceintes financièrement démunies chaque année.
Quel beau succès ! Quel bel événement !
Le Dispensaire diététique de Montréal
Avant d’aller plus loin, laissez-moi vous donner plus d’information sur le Dispensaire. Cet organisme en est à sa 136e année d’existence. Son objectif : que les bébés naissent au bon poids et dans une famille prête à les accueillir. Lorsqu’on investit un dollar dans leur approche, on réduit le risque de naissances de faible poids de moitié. C’est tout à fait incroyable. Cela permet à la collectivité d’économiser au moins huit dollars en soins de santé. À mon avis, c’est une combinaison gagnante.
Un lunch-bénéfice qui donne de l’espoir
Animé par Isabelle Pagé et marrainé par Marie-Hélène Thibert, ce lunch fut rempli d’espoir pour l’organisme. J’ai été profondément touchée par le témoignage d’Odile. Elle nous a raconté son histoire et la façon avec laquelle le Dispensaire lui fut d’une grande aide lors de sa première grossesse, il y a maintenant 12 ans. Grâce aux conseils et coupons qu’elle a reçus, elle a pu acheter d’autres aliments nutritifs afin qu’elle se nourrisse bien durant sa grossesse. « En tant qu’étudiante à faible revenu, c’était difficile pour moi d’acheter de bonnes choses », nous a-t-elle confié.
Comme quoi rien n’arrive pour rien…
Aujourd’hui, c’est l’heureuse maman d’un beau garçon et d’une belle fille. Et devinez où elle travaille ? Hé bien, son employeur est Natrel pour qui elle s’occupe en partie des coupons remis aux mères fréquentant le Dispensaire. Annuellement, la compagnie remet plus de 50 000 bons pour des produits gratuits. C’est formidable.
Pour avoir plus d’informations sur cet organisme, je vous invite à consulter leur site Internet ou encore, leur page Facebook.
Catherine nous parle de sa réalité et des Fondations qui ont aidé son garçon.