Le mois des câlins : une flèche qui va droit vers mon cœur de maman et d’enfant
Hier soir, je suis allée acheter mon gloss « rose câlin » Clarins chez Jean Coutu pour le mois des câlins. Quand j’ai procédé à l’achat, je vivais une grande gamme d’émotions. Vous me direz : « Voyons, ce n’est qu’un embellisseur pour les lèvres ». Pour moi, ce simple geste signifie beaucoup plus que simplement l’achat d’un gloss.
Pour celles qui ne le savent pas, je suis une « ex-patiente » de l’hôpital Sainte-Justine et c’est grâce à Docteure Laberge et toute son équipe que j’ai la chance d’échanger avec vous aujourd’hui. Je suis donc très sensible aux campagnes de financement qui viennent en aide à la Fondation Sainte-Justine. D’ailleurs, avec les années, je réalise que toute cause qui touche de près ou de loin les enfants m’interpelle. Est-ce le fait que j’ai été souvent hospitalisée lorsque j’étais petite ? Ou le fait que je suis maintenant une maman ? Je ne pourrais vous le dire, mais j’ai vraiment un sentiment d’appartenance et j’ai profondément le goût d’aider, même si c’est l’achat d’un simple gloss.
Aujourd’hui, aux Midis de Véro à Rythme FM, les filles parlaient du mois des câlins et Véronique racontait à Josée et aux auditeurs qu’elle était contente que Jouviance accepte qu’elle participe à une campagne où Jean Coutu et Clarins sont partenaires. Ce faisant, elle remerciait Clarins étant donné qu’elle est la porte-parole de Jouviance. Avant qu’elle en parle, je n’avais pas fait le lien. Et je dois vous avouer que je trouve ça beau à voir. Mettons de côté la compétition et appuyons une fondation qui fait de son mieux pour venir en aide aux enfants malades. Bref, leur conversation m’a fait de bien. Ça m’a rappelé que même les grandes compagnies peuvent avoir de la compassion et de bonnes valeurs.
À tous ceux qui participent à cette campagne : Rythme FM, les fées câlines, Jean Coutu, Clarins et toutes celles qui vont acheter le gloss, j’aimerais simplement vous remercier. Par votre geste, vous appuyez une fondation et, ensemble, nous pourrons faire une différence et peut-être même sauver des vies. Même si je suis en santé aujourd’hui, je rêve encore à mes séjours à l’hôpital et, malheureusement, j’ai parfois des souvenirs pas très agréables plein la tête. Je peux donc facilement me mettre à la place des enfants et même des parents. Quand je vois la générosité des gens, je suis remplie de reconnaissance.
Ce matin, mes enfants sont partis à pied vers l’école heureux et en santé. Je les regardais par la fenêtre et mon cœur était rempli d’amour. Malheureusement, ce n’est pas la même situation pour toutes les familles. Ce matin, il y avait sûrement des mamans qui regardaient par la fenêtre de l’hôpital Sainte-Justine et espéraient que leurs enfants prennent du mieux. Une triste, mais vraie réalité.
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