Prendre soin de soi quand on a le diabète !
Saviez-vous qu’au Québec, près de 830 000* personnes vivent avec le diabète et près de 250 000 personnes l’ignorent ? Cela représente un peu plus de 10 % de la population. C’est énorme et cela engendre des coûts faramineux pour la société. Saviez-vous également qu’il existe plusieurs sortes de diabète ? Il y a les types 1 et 2 (celui dont je suis atteinte), le diabète de grossesse, le MODY, le LADA ainsi que les diabètes secondaires à certaines maladies ou à la prise de médicaments. Malgré le fait que je sois diabétique depuis de nombreuses années, je croyais bien connaître cette maladie, mais en lisant un peu plus sur le sujet, je constate que j’en ai encore beaucoup à apprendre.
À travers les années, j’ai été suivie par des diététiciennes, des médecins et des endocrinologues. Tous s’accordaient pour dire que je devais faire attention à mon alimentation (pas trop d’aliments sucrés et peu nutritifs, privilégier les aliments riches en fibres, ne pas sauter de repas et boire au minimum 2 litres d’eau par jour) et faire des activités sportives. En combinant ces deux points, j’ai déjà un bon pas de fait dans la bonne direction. Il faut par contre ajouter un élément incontournable dans le suivi du diabète : prendre des glycémies. Vous savez, c’est la petite goutte de sang recueillie après la piqûre faite sur le bout du doigt. Mise sur une bandelette, cette petite goutte précieuse nous permet de voir à combien se situe notre niveau de sucre dans le sang. Pour un diabétique, c’est essentiel de faire des glycémies et idéalement, il faut le faire plusieurs fois par jour. Pourquoi ? Parce que notre taux de sucre évolue continuellement. Il peut être élevé à jeun le matin, normal avant le dîner et encore élevé en fin de soirée. Le taux de sucre fluctue dans la journée, et ce, pour plusieurs raisons : stress, alimentation trop riche en glucides ou en gras, pas d’activité physique, etc. En ayant des mesures prises à différents moments dans la journée et en y ajoutant des petites notes, on est à même d’avoir un meilleur suivi et un meilleur contrôle sur le diabète.
Pour m’aider dans cette tâche, j’utilise depuis quelques semaines le nouveau glucomètre Aviva Connect de la compagnie Accu-Chek. Fan incontestée des nouvelles technologies, je suis tombée sous le charme de cette nouvelle petite machine. J’avoue même que je suis encore plus régulière dans la prise de glycémies ; j’étais une mauvaise patiente/cliente. Je me faisais régulièrement « chicaner » par mon médecin de famille et mon pharmacien, car je n’avais pas assez de résultats. Maintenant, c’est chose du passé avec Aviva Connect. Je connecte le glucomètre avec mon téléphone intelligent et à l’aide du sans fil, les résultats de mes glycémies apparaissent tout de suite dans mon téléphone. Je peux aussi faire un suivi sur le site Internet et ajouter des notes (activités physiques, malaises, événements, etc.). Ce que j’aime particulièrement, ce sont les graphiques qui me permettent de voir quand mes glycémies sont plus hautes (ou plus basses). D’un seul coup d’œil, j’ai une tonne d’informations.
Aussi, lors de mon prochain rendez-vous médical, je pourrai montrer mes résultats à mon médecin puisque les données sont directement téléchargées dans mon téléphone. Une personne qui doit prendre de l’insuline (ce qui n’est pas mon cas) peut aussi se servir de l’application afin de l’aider à calculer son insuline. Je pense également à une autre situation : un enfant diabétique peut prendre ses glycémies à l’école et lorsqu’il arrive à la maison, les données de son glucomètre sont téléchargées automatiquement. Les parents peuvent alors assurer un certain suivi auprès de leur enfant.
Bref, j’ai été conquise par ce glucomètre. C’est fou comment un outil plus technologique influence mes comportements. Depuis que j’utilise Aviva Connect, outre le fait que je prends plus de glycémies, je prends plus souvent ma tension artérielle, je marche plus et j’essaie davantage de faire attention à mon alimentation. Le glucomètre n’est pas magique ; il ne me dira jamais comment faire telle ou telle chose. Par contre, son utilisation fréquente m’a permise de mieux comprendre les effets bénéfiques de prendre soin de soi tout en étant diabétique.
Je vous laisse sur des questions « vrai » ou « faux » tirées du site internet http://www.diabete.qc.ca/. Personnellement, ce fut très instructif !
Vrai ou faux : Je n’ai qu’un petit diabète, car je ne prends pas d’insuline.
FAUX !
Il n’existe pas de « petit » ou de « gros » diabète. On est diabétique ou on ne l’est pas. Le diabète doit toujours être pris au sérieux, et ce, peu importe le traitement prescrit, insuline ou non.
Vrai ou faux : Si je perds du poids, je ne serai plus diabétique.
FAUX !
Le diabète ne se guérit pas. Cependant, une perte de 5 à 10 % du poids initial suite à un changement des habitudes de vie contribue à l’amélioration de la glycémie ainsi qu’à la prévention des complications liées au diabète.
Vrai ou faux : Si je n’ai pas de symptômes, c’est que mon diabète est bien contrôlé.
FAUX !
Un diabète peut être mal contrôlé alors que la personne ne présente aucun symptôme. Les symptômes peuvent également passer inaperçus. Afin de s’assurer d’un bon contrôle, il est important de mesurer la glycémie régulièrement et d’avoir un suivi avec une équipe de soins.
Vrai ou faux : Le stress ne cause pas le diabète.
VRAI !
Cependant, des études ont démontré que le stress chronique peut contribuer à l’évolution de la maladie.
Vous voulez en apprendre davantage sur le diabète ? Voilà un site très intéressant à consulter (les données écrites plus haut proviennent également de ce site) : http://www.diabete.qc.ca/.
Article rédigé par Carolyne Soulard
@SoulardCarolyne
Ce texte est présenté par Accu-Chek. #Collabo
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