Histoires de filles – la préménopause
Ok, on s’parle entre filles, on chuchotera s’il faut, mais ce dont j’ai à vous jaser, c’est une histoire de filles! Bon éventuellement faut l’dire (ou l’expliquer) à nos hommes, mais là, aujourd’hui, convo de filles seulement!
Si quelqu’un m’avait dit qu’à la mi- vingtaine j’éprouverais mes premiers symptômes de préménopause, je me serais étouffée sur ma gorgée de café en disant à ce fameux quelqu’un d’aller voir ailleurs si j’y étais. C’est que déjà à cet âge, j’avais 15 ans « d’expérience » de cycle menstruel pas tout à fait normal et que j’étais sur le point d’avoir un diagnostic de désordre sanguin (ouais, ça expliquerait – en partie – les écoulements mensuels de type chutes Niagara).
Bah ouais, je suis en préménopause depuis la vingtaine. Si on se fie au côté paternel de ma famille, le tout devrait déjà être terminé (ma grand-mère était ménopausée vers 35 ans). Si on regarde du côté maternel, ça risque de perdurer jusqu’à la soixantaine! Fun, right? Pas tout à fait! Bien que tous les symptômes ne me soient pas tombés dessus, ou qu’ils ne me tombent pas tous dessus en même temps, y a quand même des jours où je me roulerais en position fœtale sous mon lit avec du chocolat et du popcorn pour oublier!
Et parlant de symptôme, je me tape quoi? Les flatulences mortelles, l’anxiété dans l’tapis, l’insomnie, les sautes d’humeur, les bouffées de chaleur et d’autres qui ne me passent pas en tête au moment d’écrire ces mots. Ceux auxquels j’échappe? La perte de libido (ben oui quoi j’ai 40 ans, paraît que c’est le nouveau 20 chez les femmes), les menstruations intenses (parce que je n’en ai plus grâce à une chirurgie et un petit dispositif appelé stérilet) et la prise de poids (à me voir on n’y croirait pas, mais enfin…).
Un jour, on me propose de faire la lecture du livre Préménopause : guide de survie pour rester zen de Mirella di Blasio. Je me suis dit, tiens, y en a une qui semble avoir pondu un « mode d’emploi » de la préménopause, enwaye lis ça! Oh bonheur! En plus d’être rassurant (genre je ne suis pas la seule qui vit ça à mon âge), c’est écrit avec simplicité et humour. Tantôt je m’éclate de rire, tantôt j’ai la larme à l’œil en lisant une histoire vécue par elle ou une de ses amies.
Qu’on garde ce petit bijou de lecture près de son lit ou dans la salle de bain (comme je l’ai fait), lire les mots que l’auteure a couchés sur les pages de ce livre est rassurant, encourageant et criant d’authenticité. À toutes celles qui, comme moi, se tapent une préméno en avance ou en retard, ou même qui ne sont pas certaines d’y avoir mis les pieds, je recommande la lecture de ce manuel. Et quand vous l’aurez lu, vous m’en donnerez des nouvelles!
Article rédigé par Stéphanie Powers
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Décharge : Stéphanie a reçu le livre pour pouvoir en faire un banc d'essai. Les opinions émises sont entièrement les siennes #ProduitReçu.
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