Tu te sens comme une girouette ces jours-ci ? Tu vis une panoplie d’émotions ? Tu te sens seule ? Lis ceci.

Nathalie avait planifié une sortie bien spéciale, sa première seule, sans enfant, depuis 4 ans. Mais vu le contexte actuel, cette fameuse journée n’aura pas lieu avant longtemps…

Parce que même si on lit et on entend partout le fameux « Ça va bien aller », les journées sont parfois difficiles. Allons-y un jour à la fois.

J’ai peur que les problèmes de santé mentale explosent. J’ai peur que toute cette solitude pèse sur le moral de beaucoup.

L’après-midi, le moment de la journée où je craque.

Janie écrit une suite à la lettre qu’elle a écrite à ses enfants pour leur raconter comment elle se sent alors que la crise Covid-19 continue de gagner du terrain.

Isabelle porte une réflexion sur tout ce qui lui manque, tout ce qu’elle avait avant la crise.

Comment ça se passe dans un CPE, considéré comme un service essentiel, en ce temps de crise? Selon Sabrina, le quotidien est différent, mais les enfants, jusqu’à maintenant, sont loin de ressentir l’angoisse et l’insécurité de notre société.

Elyse se confie sur ce sentiment d’angoisse qui l’habite et qui, à force d’écouter et de lire l’actualité, prend de plus en plus de place.

Jaime fait son coming out : elle est une gourmande heureuse et s’assume ! Cuisinez-vous plus ces jours-ci ?

Même en quarantaine, tout est une question de perspective. Anne-Marie nous raconte le positif que ce temps d’arrêt obligatoire apporte dans sa vie.

Sarah, maman de jumeaux, se confie avec une touche d’humour sur sa quarantaine à elle, son isolement qui dure depuis un an!

Un court-métrage qui raconte l’histoire d’un garçon et de sa passion pour notre sport national, le hockey.

Comment décrire ce qu’on est en train de vivre, cette espèce de crise historique? Janie a écrit une lettre à ses enfants pour leur raconter comment elle se sent, alors que ce n’est que le début.

La fois où j’ai pleuré comme un bébé dans ma voiture.

La fois où j’ai l’impression d’être figurante dans un film.

La fille de Véronique a vécu sa première peine de cœur, une peine qui a affecté son quotidien et qui a ébranlé ses fondations.

Janie souligne l’ampleur du travail admirable qu’accomplissent les mamans soloparentales.

En tant que parent, il ne faut jamais abandonner, il faut persévérer et semer continuellement.

Véronique nous raconte une anecdote d’épicerie qui vire plutôt traumatisante…